
Facy Finances vous propose un accompagnement financier sur mesure pour vos projets, en s’appuyant sur son expertise bancaire et comptable afin d’optimiser vos dépenses. Installé à la Pépinière du Val de Somme, Aurélien Hamel nous explique son parcours.
Qui es-tu et peux-tu m’expliquer ton parcours ?
Je suis Aurélien HAMEL. Après des études en expertise comptable, j’ai évolué pendant 15 ans dans le financement d’entreprises au sein du CIC et de la Caisse d’Épargne, avant de franchir le pas de la création d’entreprise, avec une première structure dans le domaine de la formation. En parallèle de celle-ci, a été créée une société de courtage en crédit. Initialement prévue pour cibler les professionnels, nous avons rapidement décidé étant donné la demande croissante, d’accompagner également les particuliers.
Pourquoi avoir choisi les Pépinières d’entreprises Amiens-Picardie ?
En tant que jeune entreprise, nous voulions des locaux qui soient à la fois accessibles au niveau géographique pour les clients, mais aussi avec un prix plutôt raisonnable et raisonné par rapport à notre utilisation.
Explique-moi ton activité comme si j’étais un enfant de dix ans.
Nous aidons les gens à obtenir de l’argent auprès des banques pour leurs projets. D’abord, nous vérifions si leur demande est possible. Ensuite, nous cherchons la meilleure banque pour leur prêt, en comparant les offres. Notre but est de leur trouver les meilleures conditions, que ce soit sur la somme, la durée ou la garantie. Nous faisons cela aussi bien pour les entreprises pour leur création, que pour les particuliers qui veulent acheter une maison.
Pourquoi avoir choisi « Facy Finances » comme nom pour ton entreprise ?
Nous avons souhaité mélanger les deux initiales des créateurs tout en faisant un jeu de mots sur la facilité d’accès aux financements grâce à nos services. Le F de Facy vient donc de Finances et Fiscalité, le A d’Aurélien, le C de conseils et comptabilité et Y de Yohan.
Ta première impression en pépinière ? Ton meilleur souvenir ?
La chose la plus importante pour moi, ce sont les rencontres que nous faisons avec d’autres locataires. Le réseau que nous pouvons créer sur la pépinière permet de pouvoir s’entraider entre locataires. De plus, je trouve qu’il y a une complémentarité entre les activités de chacun.
Quels sont les atouts de ton entreprise ?
Je dirais le fait de s’adapter à la demande de chacun de nos clients, tout en ayant en face des partenaires qui nous font confiance grâce à la qualité de nos dossiers, qui est souvent reconnue et mise en avant.
Quelle est ta journée-type ?
Je commence par consulter mes mails et établir ce qu’il y a à faire d’urgent dans la journée. Ensuite, je passe aux montages des dossiers ou aux rendez-vous en fonction de l’agenda. Puis en général, en fin de journée, je rappelle les partenaires et les clients pour faire un point sur l’avancée des dossiers.
Si tu devais te décrire en quelques mots ?
Je dirais que je suis à l’écoute. A la base, j’ai choisi le métier de banquier car j’ai à cœur d’accompagner les clients dans leurs projets. Il y a un côté humain chez Facy Finances, et aussi chez moi. Je n’aime pas obtenir un refus sur un dossier, ce qui arrive très rarement car je me bats pour les clients auxquels je crois.
Quel est ton héros préféré ?
Docteur House parce qu’il a cette approche inhumaine et insensible pour les gens, alors que lorsque l’on creuse un peu, on s’aperçoit que c’est un passionné à la recherche de solutions. Bien que je n’aie pas la canne, je me retrouve un peu en lui. Je mets souvent mes émotions de côté pour pouvoir avancer sur un dossier, la froideur me permettant d’avancer.
Quelles sont tes passions ?
Le football. J’y consacre énormément de mon temps libre. Pour moi, c’est un vecteur d’intégration sociale, un sport populaire, un lieu d’échange multiculturel et c’est ce qui me tient à cœur. Bien que je n’y joue plus, j’arbitre toujours. Je suis aussi président d’un club local et également président de la commission de discipline au sein du district. Au-delà de mon club local, je m’investis beaucoup pour le football. J’accorde plus d’intérêt au football amateur local, car selon moi, les valeurs ne sont pas les mêmes dans le football professionnel.
Qu’est-ce qui t’a poussé à entreprendre ?
La liberté de pouvoir décider quand, où et pour qui je travaille.
Un conseil pour celles et ceux qui voudraient se lancer ?
Il ne faut pas baisser les bras, c’est énormément de temps à consacrer et contrairement aux idées reçues, on ne gagne pas forcément beaucoup d’argent au démarrage. Entreprendre c’est beaucoup d’investissement et de sacrifices. Il ne faut pas croire qu’on ne fait rien et qu’on dirige seulement. Au contraire, nous en faisons beaucoup plus que lorsque nous étions salariés. Nous avons des responsabilités de gestion, des responsabilités sociales et également fiscales, ce qui prend énormément de temps. Les aspects administratif, comptable et fiscal, sont chronophages. Nous n’en avons pas forcément conscience quand on commence, mais il y aussi des contraintes juridiques. C’est quelque chose d’énergivore surtout quand on n’aime pas ça ou quand l’on ne maitrise pas ces différents sujets.
Que peut-on te souhaiter ?
Que ça continue autant que possible.
Où peut-on te suivre ? (site, réseaux sociaux…)
Sur la page LinkedIn Aurélien HAMEL ou sur le site de Facy Finances